Page 51 - II - LAZARE

LAZARE

- Oui, enfin, pour en venir à jeter un coffre-fort au fond de la Seine,
il faut vraiment être complètement inconscient.
- Mais cela peut aussi vouloir dire qu’il n’appartenait pas au
meurtrier. Peut-être que notre victime a été tuée chez elle et que le
meurtrier a utilisé ce qui était à sa portée, dit Cyril.
- Tu penses pouvoir retrouver l’identité de la victime par
identification dentaire ?
Jean afficha une mine désolée.
- Si tu regardes bien ce crâne, tu remarqueras que la quasi-totalité
des dents a disparu. Donc, il sera impossible de procéder ainsi.
Cédric réfléchit.
- Avec le numéro de série du coffre-fort, on devrait pouvoir
remonter jusqu’au fabriquant, et ainsi découvrir l’identité de notre
victime.

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